Les personnes sujettes aux allergies alimentaires doivent apprendre à déchiffrer les étiquettes des produits, dont les mentions sont très codifiées.
Source : Facebook
Le règlement UE n° 1169/2011, entré en application en décembre 2014, impose la mise en avant des allergènes suivants :
- Céréales contenant du gluten
- Crustacés
- Soja
- Graines de sésame
- Lait y compris le lactose
- Anhydrides sulfureux et sulfites, avec une concentration de plus de 10 mg/kg ou 10 mg/litre
- Œufs
- Fruit à coque
- Lupin
- Poissons
- Céleri
- Mollusques
- Arachides
- Moutarde
Au-delà de la présence avérée des allergènes à déclaration obligatoire, il y a également des informations préventives, comme « présence possible de » ou « traces de ». En indiquant « fabriqué dans un atelier qui utilise… », l’étiquette souligne le risque de contamination de l’environnement de production du produit. Autant de mentions destinées à limiter les risques de réactions allergiques.
À noter que la société dbv-technologies travaille activement au traitement de quelques-unes de ces allergies. Via l’immunothérapie épicutanée, elle espère changer le quotidien des personnes allergiques.
